Le déni est comme un ensemble de quatre pions qui sont toujours en opposition et qui s’inversent au fur et à mesure du temps pour ne jamais faire voir toutes les informations pour prendre une décision adaptée à ses réelles besoins. Une toupie se forme alors et emmène chaque pion à des lieux différents sans jamais les rassembler pour faire émerger une nouvelle connaissance.
Le mot déni n’est pas tabou. Seule son interprétation apporte un éclairage différent et favorise l’émergence de freins qui peuvent n’avoir aucun lien avec la méconnaissance. La découverte d’une vérité ne laisse pas les mêmes impressions en fonction de sa propre évolution. Craindre la découverte d’une vérité cachée par la levée d’un frein est un leurre et un frein supplémentaire.
Le déni n’est jamais tout noir ou tout blanc. De nombreuses nuances cachent une vérité qui peuvent prendre l’apparences de plusieurs freins qui une fois levés font disparaitre le déni. Il devient alors inutile de le connaitre. Il ne peut exister que par la présence de freins.
Oser s’aventurer à la découverte des obstacles présents sur sa route est une sécurité pour éviter de tomber dans le piège des habitudes et pouvoir ainsi sortir de sa zone de confort.