
La mort n’est pas un sujet tabou. Elle fait partie de la vie. L’accepter est un pas important pour favoriser son bien-être.
Aborder le sujet de la mort revient à parler en partie de la séparation de deux personnes : l’une part alors que l’autre reste. Les liens d’attachement sont rompus.
Accepter la disparition d’une personne provoque un tsunami qu’il est difficile d’apaiser. Le vent de la colère souffle. Il est toujours plus facile de refuser de le faire disparaitre que d’oser l’affronter pour le transformer en nouvelles ressources pour faciliter le bien-être.
Il est inutile d’attendre la mort pour se préparer à la vie. Le bien-être n’est jamais interdit quel que soit l’évènement vécu. Il n’est jamais interdit d’être bien pour vivre la tristesse d’un deuil. L’amour pour la personne disparue reste identique mais sans ses propres peurs.
Les liens rompus deviennent des liens d’amour pour soi pour mieux apprécier la vie.